Il y a des moments où il ne faut pas dramatiser au delà du raisonnable, à dramatiser autour du vote du TSCG, le Gouvernement prend le risque de la "capolarisation" du Parti, dont se gausse la Droite et celui de placer des efforts de persuasion là où, il faut bien dire pouvait s'exprimer une différence bien salutaire sur les banc de l'Assemblée.
Espérons que les députés socialistes qui ont la sagesse d'avoir étudié les effets pernicieux de ce traité voteront "non" au moment crucial du vote.
Mesdames et Messieurs les Députés, vous êtes les élu(e)s du Peuple et non les valets de pied de Bruxelles.
Dans le cas contraire, une page de l'histoire ce tourne et l'on pourra lire dans les manuels plus tard : "ici en ce 9 octobre 2012, les députés français ont renoncé au pouvoir qui leur a été confié par le Peuple et ont capitulé devant le diktat d'une commission non élue (Bruxelles)".
Vous avez le pouvoir de changer l'histoire comme, si souvent, la France, l'a fait par le passé.